Béziers : Plus de 2000 ans d'Histoire pour la belle Occitane
Lorsqu'aujourd'hui encore le nom de Béziers résonne, il est plus qu'évident que l'on a en tête la douceur de vivre du biterrois, ses vins, les allées Paul Riquet et ses animations, la fameuse Féria, née en 1968, ainsi que le sport sacré en terre biterroise : le Rugby. Depuis la latine Beaterra à la grande Béziers aujourd'hui, plus de 2000 ans d'Histoire parcourent les rues du centre ville et continuent de couler aux caprices du fleuve de l'Orb...
Béziers était aussi reconnue comme la grande ville des vins du Midi. Elle en fut d'ailleurs la capitale à tel point que sa réputation dépassa les frontières Languedociennes. Les vins, vermouth, liqueurs et autres alcools coulèrent à flot et Béziers grisée par cette opulence et ce succès attisa bien des jalousies. Colette dans son roman Claudine s'en va (1905) s'amusait même de la cité biterroise en la surnommant Apéritivopolis... Puis, vint la crise de 1907, la chute du marché du vin, les dorures s'effritèrent et Béziers s'endormit, mais pour mieux renaître... Aujourd'hui, ce sont là les principales choses que l'on sait de la ville, mais, elle recèle d'autres trésors que nous allons essayer de vous faire découvrir !
Il est souvent admis que la ville de Béziers est d'ascendance romaine : la grande et fière Beaterra, mais au vu de récente fouilles archéologiques, il est possible que Béziers, soit sûrement d'ascendance grecque, et qui sait peut-être plus ancienne qu'Agde ou Marseille et serait donc âgée de plus de 2700 ans !! En effet, l'équipe d'Elian Gomez, archéologue a mis en avant la présence d'un double fossé et d'une citerne datant de 625 avant J.C.... Ce qui lui permet de devancer Marseille d'un quart de siècle.
Pour en savoir plus sur les découvertes : https://viaoccitanie.tv/beziers-la-plus-vieille-ville-de-france/
Extrêmement hellénisée, la ville est l'un des plus grands centres commerciaux entre les cités de Massilia et Emporion (Empuries en Catalogne). Un temps désertée pour on ne sait quelle raison, la ville est conquise par les romains et devient ainsi l'éclatante Baeterra, rivale de Narbo Martius (Narbonne). Prospère, elle est traversée par la voie Domitienne, devient un haut lieu de commerce sur la Méditerranée et une cité d'importance. L'un des témoins de cette période faste et riche demeure la présence d'un grand amphithéâtre, aujourd'hui recouvert par des maisons au Moyen Âge. Aujourd'hui, le site après des fouilles dans les années 1990 et 2000 est devenu un jardin public et un espace archéologique.
Comme beaucoup de villes au cours du 3ème siècle ap J.C, Béziers commence à se christianiser. Aujourd'hui bien évidemment, les traces de cette christianisation nous sont parvenues grâce à la légende du Saint Protecteur de la ville : Aphrodise. Cet ancien grand prêtre de la ville égyptienne d'Héliopolis accueillit le Christ et sa famille alors que la Sainte Famille était en fuite. Très âgé (plus que centenaire) et à dos de chameau, Aphrodise devint le premier évêque de Béziers. Toutefois la grande majorité de la population de la ville est encore païenne. Vu comme un fauteur de trouble, le chrétien est attrapé par la population et subit la décollation. Sa tête jetée dans un puits, les eaux en remontent pour la rendre au corps.
Marchant jusqu'à son refuge, une grotte en dehors de la ville, pour s'y enterrer, ceux qui se moquaient de lui sur le chemin furent changés en statues de pierres. Depuis, sur la place de la fameuse grotte, une basilique est construite. Pour commémorer cet épisode légendaire de la ville de Béziers, chaque année fin avril, la ville organise les festivités de la Saint Aphrodise, et un chameau (ou dromadaire) factice parcours le centre ville afin de reconstituer le parcours du martyr. De même si l'on prête encore attention à certains détails de la ville de Béziers, on peut aisément se rendre compte que le symbole de la ville est un chameau, que l'on retrouvera ça et là, afin de se rappeler de cette légende si particulière. Alors attention où vous posez le pied ou les yeux !!
Béziers est au Moyen Âge une importante ville du Languedoc, puisqu'elle faisait partie d'une importante maison noble méridionale : Les Trencavel (si, si, c'est bien les même qu'Albi et Carcassonne). Pourtant le destin des Trencavel à Béziers reste assez sombre. Après un assassinat au sein de l'église de la Madeleine en 1167, c'est surtout l'année 1209 qui est la plus sanglante. En effet, Béziers fait partie de ces villes où les cathares avaient trouvé une terre de refuge et de "tolérance". Pourtant le 22 juillet de cette funeste année de 1209, la ville est en grande partie mise à sac par les barons du Nords, les croisés de l'Armée d'Innocent III, pape qui avait proclamé cette guerre "sainte" afin de mettre fin à l'hérésie. Cette année noire interrompt la prospérité de la ville qui tendait à s'accroître en ce début de 13ème siècle. L'église de la Madeleine ainsi que la Cathédrale Saint Nazaire, lieu de refuge pour les biterrois sont incendiés. Ne sachant qui est "bon chrétien" ou "hérétique", l'ordre donné par le meneur des troupes, Arnaud Amaury, aurait été : "Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens !" Phrase réellement prononcée ? Personne ne le sait réellement. Mais cela n'empêche pas l'Église de faire don d'une ville ravagée à Simon IV de Montfort (le même qui quelque temps plus tard recevra Carcassonne). La renaissance de la ville se fait pourtant et la foi catholique est ravivée avec la reconstruction et extension de la Cathédrale Saint Nazaire, dans le plus pur style gothique méridional, c'est à dire, une cathédrale fortifiée, mélange d'architecture sacrée et défensive. Petit détail c'est l'une des rares cathédrales françaises à représenter l'Église et la Synagogue en statues en façade principale (on retrouve ce thème à Strasbourg).
Remaniée depuis, il est encore possible d'admirer de somptueuses peintures murales du 14ème siècle côtoyant les superbes sculptures et chœur du 18ème siècle ou encore le Grand Orgue, ainsi que des sarcophages des 5ème/6ème siècle. N'oubliez pas non plus de passer par le cloître et de venir profiter de la vue sur la ville et l'Orb depuis le Jardin des évêques. Les siècles passent, Béziers se remet de ses blessures, et, au 17ème siècle, un enfant du pays Pierre Paul Riquet permet à la ville, mais aussi au Languedoc de remettre son économie sur pied. Comment me direz vous ? Et bien tout bonnement en dédiant sa vie (et sa fortune au passage) à sa grande œuvre, la création d'une voie d'eau reliant la mer Méditerranée à l'Océan Atlantique... Mais oui, bien sûr le fameux Canal du Midi ! Pour ce qui concerne Béziers, le tracé du canal a légèrement changé au 19ème siècle, puisqu'il ne croisse plus le capricieux fleuve de l'Orb, mais lui passe au dessus. Un superbe pont-canal permet aujourd'hui de suivre le canal et surtout depuis là de se repaître du spectacle de la somptueuse cathédrale Saint Nazaire fièrement dressée sur son promontoire. En plus de cela, Béziers est aussi connu pour le site et lieudit de Fonseranes, où le canal coule sur une pente d'un dénivelé d'une quarantaine de mètres et où, en forme d'escalier, une série d'écluses aussi majestueuse qu'unique.
Pour rendre hommage à ce héros, une statue fondue par David d'Angers en 1838 est installée sur les Allées qui aujourd'hui portent son nom.
En parlant de ces fameuses allées, une promenade aménagée dès la fin du 18ème siècle s'agrandit et s’embelli peu à peu et s'ouvre toujours plus avec la destruction des remparts du centre ville à la fin des années 1830. Les allées, garnies de cette statue de bronze, de jardinets mais aussi de kiosques à musique et d'un théâtre sont le symbole d'une ville qui s'étend, s'enrichie, se modernise et surtout a pour ambition de devenir une nouvelle ville de culture et d'une vie aussi effervescente que bouillonnante.
Que dire de cette époque, Belle Époque, où la ville reliée au réseau ferroviaire s'étend. Les allées deviennent le nouveau centre, les cafés se multiplient, le vin coule à flot, la ville s'embourgeoise et "s'haussmannise" et devient un flamboyant centre culturel : Théâtre, Variétés, Casino, Sociétés savantes, Nouvelles Arènes pour permettre à l'Art Lyrique de se développer et briller, architecte et artistes de renoms traversent la ville. Aujourd'hui encore en flânant sur les allées, on ne peut que se rendre compte de la superbe de la ville à cette époque. Les somptueux hôtels particuliers parlent d'eux-mêmes avec leurs toits d'ardoises et leurs impressionnantes façades. Mais, tout ce faste vacilla au son du glas de l'année 1907.... Une surproduction de vin et un écoulement des stocks qui s'essoufflent finissent par faire s'effondrer l'âge d'or initié en ce grand 19ème siècle. Il faut aussi dire que l'Algérie, à ce moment là département français produisait un vin d'une qualité plus ou moins similaire au Languedoc, mais à un prix défiant toute concurrence. Quoi qu'il en soit, la ville peinera à se remettre de tout cela, et il faudra attendre la fin des années 1950 pour que Béziers retrouve de l'éclat....
Depuis, le vernis qui avait recommencé à s'écailler se retrouve finalement poli de nouveau, puisque la ville entre dans une période de réhabilitation et qui sait, peut-être retrouvera t'elle sa gloire passée. Il est bien évident que l'on ne peut résumer 2700 ans d'histoire en quelques pages et que beaucoup de choses n'ont pas encore été dites. Mais pour cela, il vous suffit de nous suivre et si le cœur vous en dit, de nous laisser vous guider à travers les charmantes rues de la ville ...
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Béziers était aussi reconnue comme la grande ville des vins du Midi. Elle en fut d'ailleurs la capitale à tel point que sa réputation dépassa les frontières Languedociennes. Les vins, vermouth, liqueurs et autres alcools coulèrent à flot et Béziers grisée par cette opulence et ce succès attisa bien des jalousies. Colette dans son roman Claudine s'en va (1905) s'amusait même de la cité biterroise en la surnommant Apéritivopolis... Puis, vint la crise de 1907, la chute du marché du vin, les dorures s'effritèrent et Béziers s'endormit, mais pour mieux renaître... Aujourd'hui, ce sont là les principales choses que l'on sait de la ville, mais, elle recèle d'autres trésors que nous allons essayer de vous faire découvrir !
Il est souvent admis que la ville de Béziers est d'ascendance romaine : la grande et fière Beaterra, mais au vu de récente fouilles archéologiques, il est possible que Béziers, soit sûrement d'ascendance grecque, et qui sait peut-être plus ancienne qu'Agde ou Marseille et serait donc âgée de plus de 2700 ans !! En effet, l'équipe d'Elian Gomez, archéologue a mis en avant la présence d'un double fossé et d'une citerne datant de 625 avant J.C.... Ce qui lui permet de devancer Marseille d'un quart de siècle.
Pour en savoir plus sur les découvertes : https://viaoccitanie.tv/beziers-la-plus-vieille-ville-de-france/
Extrêmement hellénisée, la ville est l'un des plus grands centres commerciaux entre les cités de Massilia et Emporion (Empuries en Catalogne). Un temps désertée pour on ne sait quelle raison, la ville est conquise par les romains et devient ainsi l'éclatante Baeterra, rivale de Narbo Martius (Narbonne). Prospère, elle est traversée par la voie Domitienne, devient un haut lieu de commerce sur la Méditerranée et une cité d'importance. L'un des témoins de cette période faste et riche demeure la présence d'un grand amphithéâtre, aujourd'hui recouvert par des maisons au Moyen Âge. Aujourd'hui, le site après des fouilles dans les années 1990 et 2000 est devenu un jardin public et un espace archéologique.
Comme beaucoup de villes au cours du 3ème siècle ap J.C, Béziers commence à se christianiser. Aujourd'hui bien évidemment, les traces de cette christianisation nous sont parvenues grâce à la légende du Saint Protecteur de la ville : Aphrodise. Cet ancien grand prêtre de la ville égyptienne d'Héliopolis accueillit le Christ et sa famille alors que la Sainte Famille était en fuite. Très âgé (plus que centenaire) et à dos de chameau, Aphrodise devint le premier évêque de Béziers. Toutefois la grande majorité de la population de la ville est encore païenne. Vu comme un fauteur de trouble, le chrétien est attrapé par la population et subit la décollation. Sa tête jetée dans un puits, les eaux en remontent pour la rendre au corps.
Marchant jusqu'à son refuge, une grotte en dehors de la ville, pour s'y enterrer, ceux qui se moquaient de lui sur le chemin furent changés en statues de pierres. Depuis, sur la place de la fameuse grotte, une basilique est construite. Pour commémorer cet épisode légendaire de la ville de Béziers, chaque année fin avril, la ville organise les festivités de la Saint Aphrodise, et un chameau (ou dromadaire) factice parcours le centre ville afin de reconstituer le parcours du martyr. De même si l'on prête encore attention à certains détails de la ville de Béziers, on peut aisément se rendre compte que le symbole de la ville est un chameau, que l'on retrouvera ça et là, afin de se rappeler de cette légende si particulière. Alors attention où vous posez le pied ou les yeux !!
Béziers est au Moyen Âge une importante ville du Languedoc, puisqu'elle faisait partie d'une importante maison noble méridionale : Les Trencavel (si, si, c'est bien les même qu'Albi et Carcassonne). Pourtant le destin des Trencavel à Béziers reste assez sombre. Après un assassinat au sein de l'église de la Madeleine en 1167, c'est surtout l'année 1209 qui est la plus sanglante. En effet, Béziers fait partie de ces villes où les cathares avaient trouvé une terre de refuge et de "tolérance". Pourtant le 22 juillet de cette funeste année de 1209, la ville est en grande partie mise à sac par les barons du Nords, les croisés de l'Armée d'Innocent III, pape qui avait proclamé cette guerre "sainte" afin de mettre fin à l'hérésie. Cette année noire interrompt la prospérité de la ville qui tendait à s'accroître en ce début de 13ème siècle. L'église de la Madeleine ainsi que la Cathédrale Saint Nazaire, lieu de refuge pour les biterrois sont incendiés. Ne sachant qui est "bon chrétien" ou "hérétique", l'ordre donné par le meneur des troupes, Arnaud Amaury, aurait été : "Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens !" Phrase réellement prononcée ? Personne ne le sait réellement. Mais cela n'empêche pas l'Église de faire don d'une ville ravagée à Simon IV de Montfort (le même qui quelque temps plus tard recevra Carcassonne). La renaissance de la ville se fait pourtant et la foi catholique est ravivée avec la reconstruction et extension de la Cathédrale Saint Nazaire, dans le plus pur style gothique méridional, c'est à dire, une cathédrale fortifiée, mélange d'architecture sacrée et défensive. Petit détail c'est l'une des rares cathédrales françaises à représenter l'Église et la Synagogue en statues en façade principale (on retrouve ce thème à Strasbourg).
Remaniée depuis, il est encore possible d'admirer de somptueuses peintures murales du 14ème siècle côtoyant les superbes sculptures et chœur du 18ème siècle ou encore le Grand Orgue, ainsi que des sarcophages des 5ème/6ème siècle. N'oubliez pas non plus de passer par le cloître et de venir profiter de la vue sur la ville et l'Orb depuis le Jardin des évêques. Les siècles passent, Béziers se remet de ses blessures, et, au 17ème siècle, un enfant du pays Pierre Paul Riquet permet à la ville, mais aussi au Languedoc de remettre son économie sur pied. Comment me direz vous ? Et bien tout bonnement en dédiant sa vie (et sa fortune au passage) à sa grande œuvre, la création d'une voie d'eau reliant la mer Méditerranée à l'Océan Atlantique... Mais oui, bien sûr le fameux Canal du Midi ! Pour ce qui concerne Béziers, le tracé du canal a légèrement changé au 19ème siècle, puisqu'il ne croisse plus le capricieux fleuve de l'Orb, mais lui passe au dessus. Un superbe pont-canal permet aujourd'hui de suivre le canal et surtout depuis là de se repaître du spectacle de la somptueuse cathédrale Saint Nazaire fièrement dressée sur son promontoire. En plus de cela, Béziers est aussi connu pour le site et lieudit de Fonseranes, où le canal coule sur une pente d'un dénivelé d'une quarantaine de mètres et où, en forme d'escalier, une série d'écluses aussi majestueuse qu'unique.
Pour rendre hommage à ce héros, une statue fondue par David d'Angers en 1838 est installée sur les Allées qui aujourd'hui portent son nom.
En parlant de ces fameuses allées, une promenade aménagée dès la fin du 18ème siècle s'agrandit et s’embelli peu à peu et s'ouvre toujours plus avec la destruction des remparts du centre ville à la fin des années 1830. Les allées, garnies de cette statue de bronze, de jardinets mais aussi de kiosques à musique et d'un théâtre sont le symbole d'une ville qui s'étend, s'enrichie, se modernise et surtout a pour ambition de devenir une nouvelle ville de culture et d'une vie aussi effervescente que bouillonnante.
Que dire de cette époque, Belle Époque, où la ville reliée au réseau ferroviaire s'étend. Les allées deviennent le nouveau centre, les cafés se multiplient, le vin coule à flot, la ville s'embourgeoise et "s'haussmannise" et devient un flamboyant centre culturel : Théâtre, Variétés, Casino, Sociétés savantes, Nouvelles Arènes pour permettre à l'Art Lyrique de se développer et briller, architecte et artistes de renoms traversent la ville. Aujourd'hui encore en flânant sur les allées, on ne peut que se rendre compte de la superbe de la ville à cette époque. Les somptueux hôtels particuliers parlent d'eux-mêmes avec leurs toits d'ardoises et leurs impressionnantes façades. Mais, tout ce faste vacilla au son du glas de l'année 1907.... Une surproduction de vin et un écoulement des stocks qui s'essoufflent finissent par faire s'effondrer l'âge d'or initié en ce grand 19ème siècle. Il faut aussi dire que l'Algérie, à ce moment là département français produisait un vin d'une qualité plus ou moins similaire au Languedoc, mais à un prix défiant toute concurrence. Quoi qu'il en soit, la ville peinera à se remettre de tout cela, et il faudra attendre la fin des années 1950 pour que Béziers retrouve de l'éclat....
Depuis, le vernis qui avait recommencé à s'écailler se retrouve finalement poli de nouveau, puisque la ville entre dans une période de réhabilitation et qui sait, peut-être retrouvera t'elle sa gloire passée. Il est bien évident que l'on ne peut résumer 2700 ans d'histoire en quelques pages et que beaucoup de choses n'ont pas encore été dites. Mais pour cela, il vous suffit de nous suivre et si le cœur vous en dit, de nous laisser vous guider à travers les charmantes rues de la ville ...
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